Melle Lily Monlau: présidente de la croix rouge
Marcel Vanucci et Dominique Zuccarelli félicitant Christian Casanova champion de France cycliste junior
L’ omu corsu Dominique Zuccarelli
Dédé Lepori gardien du stade et Mr Julien Blanchenoix ancien militaire et athlète militaire de renom
Jacques Campana dit » u cavallu »
Ignace Valentini dit » Ignaziu u papu perditellu historique »
Le forgeron
Don-Louis Casanova, ancien éleveur
Mr sicurani et Mr Mariani
Monseigneur Sauveur Casanova, né le 2 juin 1918 à Corte et mort le 26 mai 1998, est un évêque catholique français, évêque d’Ajaccio de 1987 à 1995. De façon courante il aimait utiliser le titre d’évêque de Corse.
Après avoir été formé au Grand Séminaire d’Ajaccio de 1938 à 1939, puis au Séminaire universitaire de Lyon de 1942 à 1945, Sauveur Casanova est ordonné prêtre le 24 février 1945 pour le diocèse d’Ajaccio.
Il a tout d’abord été vicaire à Corte et aumônier au collège Paoli de 1946 à 1954), avant de devenir aumônier diocésain de mouvements de jeunes (JEC, JAC, JOC, scoutisme, guidisme) en 1954, puis directeur-adjoint en 1958 puis directeur général en 1960 de la Direction des œuvres.
En 1965, il est nommé vicaire général du diocèse, puis archiprêtre, curé des paroisses de Bastia et archidiacre de Haute-Corse en 1969, et enfin archiprêtre de la cathédrale, vicaire épiscopal du district d’Ajaccio en 1979.
Nommé évêque d’Ajaccio le 13 août 1983, il est consacré le 15 octobre de la même année par le cardinal Angelo Felici. Il succède alors à Mgr Jean-Charles Thomas, lui-même nommé évêque de Versailles. Il reste en poste jusqu’à sa retraite, le 5 janvier 1995, et décède le 26 mai 1998.
Mgr Sauveur Casanova publie, en 1992, «Parole d’espérance» qui restera comme le moment fort de son épiscopat. Ce texte porte sur la situation sociale et politique de l’île et le recours à la violence. Fruit d’un travail de réflexion mené au sein de la communauté catholique de Corse, ce texte souligne notamment: «Les arguments politiques ou idéologiques qui sont parfois invoqués pour justifier telle ou telle des ces actions ne servent ni leurs auteurs ni leur cause, mais les disqualifient eux-mêmes tout en plongeant les uns et les autres dans la tristesse et le découragement.»
Contrairement à la tradition qui veut qu’un évêque soit enterré dans la cathédrale du dernier diocèse où il a exercé, Sauveur Casanova est enterré à Corte, berceau de sa famille.
Cette tradition, appelée selon les endroits spregiata ou biniditu, au cours de laquelle un prêtre bénit la maison de l’extérieur et de l’intérieur, avait été un peu abandonnée mais elle connaît un nouvel essor ces dernières années.
Une tradition qui remonte à Jésus-Christ.
L’idée de bénir la maison remonte au Christ Lui-même, lorsqu’Il donna instruction à ses premiers disciples de dire en entrant dans une maison : « Paix à cette maison! S’il se trouve là un homme pacifique, la paix de votre souhait reposera sur lui; sinon, elle vous reviendra » (Luc 10,5).
Il s’agit de libérer le lieu de tout mal et demander la protection divine.
De plus, si quelque grand mal y a été commis au cours de l’histoire de la maison que vous habitez (sorcellerie, divination et tarots, spiritisme, voire meurtre, avortement, etc), alors il est important de faire bénir la maison.
Pour les chrétiens, les rameaux apportent la bénédiction dans les foyers. Une fois que le nouveau rameau est béni, la coutume veut que l’on brûle le rameau de l’année précédente, lors du mercredi des Cendres, le jour qui marque le début du Carême. C’est avec les cendres des rameaux que l’on marque le front des baptisés.
En Corse, on fabrique « e crucette » (rameaux de Pâques). Ces crucettes sont faites à partir de palmes fraîches qui sont pliées et nouées. Ces croix de palmes tressées vont être ensuite pendues toute l’année sur un mur ou dans une voiture pour avoir la protection divine. D’autres prennent la forment d’étoile ou de poissons (pesci). Elles sont vendues ou distribuées pour les Rameaux, en plus des branches d’olivier.
Selon les Évangiles, le Jeudi Saint correspond au soir où s’est déroulé la Cène, dernier repas du Christ et de ses douze apôtres. Le Vendredi Saint marque le jour de la crucifixion et de la mort de Jésus-Christ, ressuscité trois jours plus tard, le jour de Pâques.
Né en 1920 dans le petit village de Rusiu, en Castagniccia, Charles Rocchi fut l’artiste insulaire « le plus connu, le plus chanté ».
Il commence sa carrière artistique dans les années 50, à Paris où il était facteur, puis continue dans le sud de la France. Sa rencontre avec Félix Quilici, autre artiste emblématique du milieu musical du siècle dernier, fut déterminante. Il enchaîna ensuite récitals, notamment à l’Olympia en 1960, et disques à succès inspirant les principaux artistes et groupes insulaires. Son répertoire compte plus d’une centaine de titres exaltant souvent sa terre natale et son peuple dont un grand nombre font partie du patrimoine culturel insulaire.
Le poète et chanteur corse, figure du renouveau de la chanson insulaire dans les années 50, s’est éteint en 2010 à Corte à l’âge de 88 ans.
Charles Rocchi au Serenu

Classe de CM2 de Mme luciani
Classe de CE1 de Mr Arrighi
St Pascal match professeurs- élèves
Collège départ Venise 80-81
Classe de Mr Luciani, professeur d’histoire-géographie
Classe de Mme Grimaldi, professeur d’anglais
Classe de Mme Bordes, professeur de mathématiques
Classe de Mme Guidoni, professeur de français-littérature
Classe de Mr Guidoni, professeur de mathématiques et Mme Guidicelli, professeur de français
Chaque année, depuis la nuit des temps, la Cunfraterna di San Teofalu organise les processions de la Semaine Sainte avec l’aide du clergé. Et le rituel du chemin de croix, retraçant la Passion du Christ, est toujours respecté. Loin des clichés spectacles que l’on peut avoir quant à la sincérité du rituel, il s’agit bien d’un moment de foi intense. D’un acte volontaire de contrition, d’une forte demande de pardon et le pénitent blanc garde longtemps les stigmates de la croix de 53 kg, portée à travers les rues et ruelles de la cité.
L’histoire des toiles
L’histoire de la restauration


Les articles de presse concernant la collection Fesh

Extrait de l’acte de transaction entre la ville d’Ajaccio et Joseph Bonaparte
Inventaire
Ordonnance du roi Louis Philippe le 15 mars 1843
Guerrier en armure
Marchande de poissons Italie du Nord et du Centre XVIIIe siècle
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