Dominique Colonna : goal international de football

dom colonna     

Curriculum Vitae

Dominique Colonna
Avenue Président Pierucci
20250 Corte
Né le 4 Septembre 1928

  • 1941-1942: Première licence à l’US Corté
  • 1948-1949: Première licence au S.O. Montpellier
  • 1949-1955: Licence au Stade Français
  • 1955-1957: Licence à l’O.G.C. Nice
  • 1957-1963: Licence au Stade de Reims
  • 1963-1965: Premier entraîneur professionnel au Cameroun
  • 1965-1973  : Conseiller technique pour les états de l’Afrique centrale : Cameroun, Tchad, Gabon, R.C.A Congo Brazzaville et Congo Léopoldville(Kinshasa)
  • 1973-1994: Entraîneur de l’US Corte (avec un an de dérogation)
  • Diplôme d’entraîneur:
  • 1er Degré à Reims: Batteux
  • 2ème Degré à Dijon, Major de la promotion, ce qui a fait la fierté de celui qui, le premier a donné ses lettres de noblesse au poste de gardien de but, Julien Darvi.  Certainement plus fier que moi de cette réussite, non pas pour moi mais pour le poste.
  • Diplôme National à l’INS Paris
    En tête des gardiens français dans le classement France Football par le grand journaliste Gabriel Hanot alors que je n’avais qu’une séléction.
  • Dirigeants: O.G.C. Nice vice président
  • Vice président Olympique de Marseille (Présidence Pierre Cangioni et Jean-Michel Ripa)succession de Mr Tapie
  • Président de l’ Us Corté
  • Cadre 20 ans chez ADIDAS, création de Corse Sport Distribution à Ajaccio

Sélections:

  • Haute-Corse
  • Corse
  • Paris (Racing, stade Français, R.Star, CAP)
  • Militaire
  • France B
  • France A (13 fois)

Entraîneurs: 

  • Montpellier : Wickelmans
  • Stade Français : Riou, Wolf, Edmond Delfour, Mercier, Dit Velvette
  • OGC Nice : Camiglia Luis
  • Reims et équipe de France : Batteux A

 

Liste des maires de Corte depuis 1816

PERIODES     MAIRES DE CORTE

  • 1816-1819    Mathieu ARRIGHI
  • 1819-1822    Jacques-François SIMEON DE BUOCHBERG
  • 1822-1823    Vincent ADRIANI
  • 1823-1828    Balthazar ARRIGHI
  • 1828-1830    Hyacinthe MARIANI
  • 1830-1837    François BENEDETTI
  • 1837-1841    François-Louis GUELFUCCI
  • 1841-1848    Vincent ADRIANI
  • 1848-1855    Balthazar ARRIGHI
  • 1855                 Vincent ADRIANI
  • 1855-1861    Balthazar ARRIGHI
  • 1861-1865    François-Napoléon SIMEON de BUOCHBERG
  • 1865-1870    Louis PALAZZI
  • 1870-1871    Ange-Michel FILIPPINI
  • 1871-1877    François BENEDETTI
  • 1877                Louis de MONTERA
  • 1878-1882    Dominique-François ORDIONI
  • 1882-1888    Barthélémy MIGNUCCI
  • 1888-1892    Charles-Xavier PALAZZI
  • 1892-1896    Antoine-Ambroise GUELFUCCI
  • 1896-1900    Dominique BOZZI
  • 1900-1908    Antoine PIERAGGI
  • 1908-1914    Jean-Baptiste GRIMALDI
  • 1914-1922    Xavier MONLAÜ
  • 1922-1935    Louis SIMEON DE BUOCHBERG
  • 1936-1941    Xavier LUCIANI
  • 1941-1944    André ALLEGRINI
  • 1945-1955    Jean- Baptiste SANDRESCHI
  • 1955-1963    Toussaint PIERUCCI
  • 1963-1967    Michel PIERUCCI
  • 1967-1970    Etienne GRIMALDI
  • 1970-1971    François ALBERTINI
  • 1971-1983    Michel PIERUCCI
  • 1983-2001    Jean-Charles COLONNA
  • 2001-2020   Antoine SINDALI
  • 2020-            Xavier POLI

La religion à Corté

Aspects religieux et historiques de la ville de Corté

Autrefois Corté dépendait de la pieve de Talcini qui comptait six paroisses. Celles de Corté, de Sainte Lucie de Mercuriu et de Tralonca appartenant au doyenné de Corté, et celles d’Omessa,de Castirla et de Soveria étaient rattachées au doyenné d’Omessa. La pievanie de Corté avait pour coeur l’église champêtre dédiée à Sainte Marie et située à plusieurs milles de Corté, en direction d’Omessa, à 3Km de l’ancienne ville de Cenestun. A la fin du XVIe, cette église était déjà désaffectée.

La ville de Corté, Civiae Civitas, centre géographique de la Corse et cœur politique de la nation, a été capitale du gouvernement Paoli de 1755 à 1769. Elle fut aussi la patrie de Saint Théophile (1676-1740), du Général Jean Pierre Gaffory (1704-1753), de Monseigneur François Xavier Gaffory (1810-1892) évêque de Corse et de Monseigneur Antoine Louis Arrighi de Casanova, évêque d’Acqui (1808-1810).

Il existait dans la ville différents oratoires: Saint Roch, Sainte Croix, Saint Vitus et Saint Etienne. L’oratoire Sainte Croix, abritait une confrérie d’hommes et un mont de piété au capital de 1500 livres. Dans l’église Saint Marcel, existait un autre mont de piété administré par la confrérie de Rosaire, composée uniquement de femmes. Elles avaient la charge de l’entretien de l’église et de l’autel du même nom.

Il y avait également au sein de la ville de Corté deux couvents:

-Saint François aux Observantins qui comptait seize religieux. L’église servait de salles aux consultes nationales. Aujourd’hui, elle est en ruine, il ne reste plus que le clocher triangulaire.

-Le couvent des Capucins dédié aussi à St François accueillait 19 religieux. Il appartient à la famille Arrighi. L’église a été désaffectée et a servi de salle de cinéma pendant longtemps.

Initialement, l’église paroissiale fut dédiée à St Marcel, pape et martyr en 309, puis à la fin du XVIIe, elle fut consacrée à l’Annonciation. L’église St Marcel, construite à Corté par les habitants d’Aléria fuyant les Sarrasins et la malaria, a été abandonnée dans la seconde moitié au XVIIIe siècle. Elle fut confisquée pendant la révolution puis transformée en magasin militaire avant d’être démolie en 1836. L’église de l’Annonciation, construite par Ambroise, évêque d’Aléria fut ouverte au culte en 1450. En 1655, elle fut agrandie, portée à trois nefs et transformée en style baroque.

Les confréries cortenaises

La vie religieuse des corses était fortement influencée par les confréries. Elles poursuivaient à la fois, un but religieux qui est de sanctifier les âmes, de rehausser la solennité et l’éclat des cérémonies du culte public, et un but social, à travers les œuvres d’assistance et de secours mutuel auxquels chacun avait droit moyennant une cotisation modique. Elles viennent en aide aux nécessiteux, aux malades, et en cas de mort, elles prennent en charge les funérailles et procèdent aux inhumations. Conformément aux anciens registres de la confrérie de San Ghjiseppu, pour être membre, il fallait appliquer les règles fondamentales du catéchisme, être de bonne vie et mœurs, ne pas être un criminel ou un assassin et ne pas vivre dans l’usure, le concubinat et l’inceste. Ces confréries pouvaient être régies canoniquement de plusieurs privilèges et indulgences comme celle de San Ghjiseppu. En règle générale, chaque confrérie possède son propre habit, sa propre bannière, son propre oratoire et un chapelin qui lui est rattaché.

Ce sont les supérieurs, appelés « Primu Priore »(premier prieur), « Sottu Priore » (sous prieur) et « Tresorieru » (trésorier) qui tiennent les registres. Les membres doivent faire leurs Pâques en corps. Ils sont tenus d’assister en habit aux enterrements, aux offices et cérémonies religieuses, aux processions surtout à celle de la fête de Dieu et du Jeudi Saint et de visiter les reposoirs. Les absences non motivées sont punies d’une amende dite « a bustella« .

Il existait à Corté deux types de confréries. Les unes totalement sous la tutelle de l’église (et de ce fait régies par des statuts comme c’était le cas de la confrérie de  » San Ghjiseppu »). Les autres confréries (dites du peuple) qui allaient contre les abus de l’église. Elles avaient pour principales fonctions : l’activité d’entraide et l’aide à la mort. Elles étaient des associations pieuses, de charité, et de pénitence qui possédaient leurs propres  chants et cérémonies. C’était le cas des confréries des « Bianchi » et de « San Martino » qui ont momentanément disparu ou fusionné avec la confrérie actuelle, celle de « San Teofalu di Corti »I Bianchi appartenaient à une confrérie de gens pauvres selon les uns, de notables selon les autres. Ctte confrérie était appelée également di l’ »Artigiani », les artisans, car elles regroupaient des maçons, des chaudronniers, des menuisiers, des cordonniers. Les confrères ne portaient pas les  » mantelettes » mais étaient uniquement vêtus de blanc d’où leur nom. Leur oratoire était à Sainte Croix, d’où leur autre appellation « I Crucetti ». Les membres de la confrérie de « San Martinu » portait un mantelet de couleur verte. Le premier prieur était reconnaissable des autres confrères par « una lastra », une plaque cousue sur sa cape . Enfin, il existait aussi des confréries de femmes qu’on appelait « E sore piddoche »ou « E sore pizzoche »dites aussi « E figlie di Maria ». Elles étaient chargées de l’entretien de l’oratoire, de l’église paroissiale et des funérailles des confrères. Leur oratoire se trouvait selon les témoignages dans l’église Saint Marcel ou dans la petite chapelle Sainte Croix.

Aujourd’hui, A Cunfraterna di San Teofalu, selon divers témoignages est la fusion des trois confréries en 1979: San Martinu, San Ghjiseppu et I Bianchi. Cette confrérie, régie par la loi 1901, possède ses propres statuts et un bureau réuni autour du Premier Prieur. Adhérer à la Cunfraterna di San Teofalu, c’est se donner volontairement, solliciter son admission à un groupe qui peut vous en refuser l’accès. C’est demander de participer aux faveurs divines dispensées par la confrérie. On peut devenir pénitent par un acte d’engagement personnel dès le plus jeune âge . Aujourd’hui, ces confréries qui naissent et se développent sur l’ensemble de l’île ont quasiment une référence religieuse. Les raisons particulières énoncées par les pénitents relèvent souvent du contexte général. Notre société « industrialisée » sécrète des structures dé-personnalisantes qui engendrent des situations de crises au niveau collectif et individuel. Ces situations font apparaître des aspirations, des besoins que les confréries semblent aisément combler. Elles sont un besoin de réponses précises, un facteur de sécurité dans un monde en mutation rapide ou les certitudes traditionnelles paraissent céder sous les coups des remises en cause perpétuelle.

Tradition de Pâques à Corté

Les processions: La Corse est un pays de religion catholique et la population attache une importance considérable à certaines pratiques religieuses. Le dimanche des rameaux marque le début de la semaine sainte. Après la bénédiction des palmes qui se présente sous  forme de croix appelée « E Crucette », chaque famille les ramène dans leur demeure. La bénédiction, selon les témoignages, se passait autrefois, à l’intérieur de l’église, aujourd’hui elle débute place Gaffory, devant l’église de l’Annonciation et s’achève sur la place Saint Théophile. Après le dimanche des rameaux, va débuter la procession du Jeudi Saint (Ghjovi Santu) et du Vendredi Saint (Venneri Santu). Corti, comme d’autres régions, célèbre avec ferveur ces deux cérémonies.Le dépouillement des autels, les statues recouvertes d’un voile, l’extinction des cierges en marquent le début. Les processions marquent dans toutes les régions le moment fort de ce cérémonial, mais les coutumes qui gravitent autour d’elles sont parfois différentes. Ce sont les confréries qui perpétuent les traditions de la semaine Sainte . Elles organisent, dirigent et conduisent les processions. Que l’on soit en Haute- Corse ou en Corse du Sud, les rites pratiqués ne sont pas les mêmes et portent les appellations différentes, U Catenacciu à Sartène, A Granitula ou Farendola à Corti. La procession du Jeudi Saint comprend exclusivement les pénitents et les hommes. Les femmes et le clergé n’y participent pas, alors que la procession du Vendredi Saint est ouverte à tous. Durant la procession, nous pouvons entendre des chants comme Perdono mio Dio, Signore mi pento qui sont des litanies pénitentielles qui ne font qu’exprimer sous forme d’examen les tribulation de l’ascète qui mènent l’homme vers Dieu. Trois arrêts devant les oratoires de San Teofalu, San Antone et de Santa Croce sont prévus ou certains confrères récitent » l’attu di contrizione ». Le Vendredi Saint, la procession se déroule à travers les rues et ruelles de la ville qui sont illuminées par des centaines de bougies posées par les habitants sur les rebords des fenêtres.

U sepolcru: Corté est la seule ville de Corse où l’on vénère le Christ sous la forme du Christ mort, appelé U sepolcru. Cette statue du XVe siècle était veillée dès le jeudi soir par les femmes qui se relayaient à tour de rôle à son côté. Le Vendredi Saint, elle était portée en procession et le soir, elle était exposée en église. Ce n’est qu’à ce moment là que la population peut effectuer la visite de deuil. Ce Christ est en carton mâché. Il est porté par 6 pénitents sur un brancard appelé U Catalettu. Ce Christ était originellement articulé et peut être était-il accroché à la croix ? Si tel était le cas, on peut penser que les confrères pratiquaient alors tout le cérémonial de la descente de croix dans sa totalité. C’est à l’occasion de la Semaine Sainte que la statue du Christ mort est rendue à la vénération populaire. C’est seulement du vendredi saint au dimanche, que les cortenais peuvent une fois l’an se recueillir devant l’image du sauveur.

U Pesciu: Le poisson est une branche de palmier tressée en forme de poisson reprenant ainsi la symbolique chrétienne. Sa réalisation nécessite de nombreuses heures de travail. Ce sont 5 pièces qui une fois assemblées n’en forment qu’une: dui cherbusgi ( deux choux), le corps du poisson u pesciu et duie rete (deux filets) .I cherbusgi sont montés sur un roseau, le poisson est pris dans les filets. Une fois terminé, l’ensemble mesure 1m50 et sèche un an avant d’être brûlé le samedi Saint de l’année suivante. Autrefois u pesciu était mis aux enchères et permettait ainsi de faire rentrer de l’argent dans les confréries. Quand l’enchère était terminée, l’acquéreur désignait un homme pour porter la croix, sur laquelle avait été déposé le pesciu. En plus du pesciu, les confrères confectionnaient les petites croix (e crucette) et trois couronnes d’épines (e curnoghje) que l’on plaçait autour et sur la tête du Christ. Ces trois couronnes de 11 épines chacune correspondaient symboliquement à l’âge de la mort du Christ.

A Granitula: La procession de la granitula, que l’on peut traduire en français par le terme d’escargot (a lumaga), désigne plus largement l’idée de spirale. Elle symbolise le retour cyclque de la vie et de la nature. C’est après les prières et les chants le jeudi Saint, que l’ensemble des pénitents forme la granitula, se resserrant et desserrant en spirale pour symboliser l’union des chrétiens. Puis de l’extrémité du cercle central, un confrère reprend la tête du cortège et la procession se poursuit.

La confrérie en fait exactement 3, se rendant aux endroits où s’élèvent des édifices religieux:

- sur l’emplacement de l’ancien couvent Saint François

- Place Paoli où se trouvait l’église Saint Marcel

- Place Gaffory où s’élève l’église de l’Annonciation

La granitula débute et finit par un cercle. Elle est un rite de passage où s’effectuent les initiations.

A Mannella

A Mannella 1978 citadelle de Corte (Copier)

Le groupe folklorique cortenais: 

A Mannella est créé à Corte en 1958 à l’initiative de Jacques Luciani. De nombreux poètes et musiciens corses connus vont jouer dans cet ensemble, notamment le chanteur Charles Rocchi, le joueur de violon Filice Antone Guelfucci, le poète Gregale, Bébé et Charlot Mariani et les acteurs majeurs du Riacquistu comme Petru Guelfucci. A Mannella, en 1975, compte parmi ses adhérents : Jacques Luciani,  Philippe Taddei, Dominique Gambini, Pascal Cesari, Sylvestre Zuccarelli, Edouard Houdemer, Paul Mariani, Marius Garsi, Jean-Baptiste de Nobili, Jean-Claude Taddei et chez les femmes, Roselyne Cesari, Angèle Luciani, Marie-Hélène Filippi, Marie-Antoinette Rinieri et Marie-Rose Rinieri.

A Mannella au cinéma l'aiglon de Corté le lundi 17 mai 1982A Mannella au parc-hôtel pour l'arrivée du Président Valéry-Giscard d'EstaingA Mannella au Serenu le 24.12A Mannella à CortéA ManellaA Mannella à Baliri pour la venue du Général comandant la 7ème région militaire ERM 1976A Mannella CFPA de Corté 1975 Tony Michelsen-jacques Lucciani fils Antoine Casanova Jean Baptiste Pulicani guitaresA Mannella et i Machjaghjoli aux assises nationales des groupes folkloriques le 15 avril 1983A Mannella à Casanova de Venaco en 1976A Mannella: citadelle de CortéA MannellaJacques Luciani: A MannellaA MannellaA Mannella Jacques Luciani et LanzalaviA Mannella à Grenoble en janvier 1977A Mannella en tournée à Munich au château de Louis II de Bavière en 1977A Mannella pour Pentecôte en mai 1978 à AvignonA Mannella AU festival d'Avignon en Aout 1976A Mannella au festival de Vichy juillet en 1981A Mannella moulin d'Alphonse Daudet en mai 1978A Mannella : OspedaleA Mannella : OspedaleA Mannella : OspedaleA Mannella : Ospedale1

A Mannella au Serenu - 24.12

A Manella au Serenu

La Cortenaise

La Cortenaise - 14.07La société musicale La Cortenaise est la plus ancienne association de la cité paoline. Elle a été officialisée en 1904 mais sa création remonterait à 1889. La grande fanfare est aujourd’hui présidée par Mr André Coque et ses locaux sont à Chabrières. Elle compte actuellement parmi ses adhérents: Campana François, Campana Corinne, Fauvergue Lisa, Calmus Hubert, Cathy et Claire, Ferrandi Marie-Anne, Imbert Guy, Lorenzetti Charly, Luc Alain, Mantei Françoise et Joseph-Marie, Marchetti Jean-Jacques, Muzzarelli Martin, Pic Jean-Pierre, Placide Enel, Rosseil Charlène, Rosseil Lucile et Ruggeri Pierre-Paul.

La Cortenaise en 1927La Cortenaise souvenir de Corte en 1928La Cortenaise au  Local à CorteLa Cortenaise souvenir du 11 novembre 1949La Cortenaise souvenir du 17 mai 1949 sur la place PaoliLa Cortenaise souvenir du 26 mai 1956 après l'enterrement de notre cher et regretté Président MartinettiLa Cortenaise en 1961La Cortenaise en 1963La Cortenaise à calviLA CORTENAISELa Cortenaise à Corte le 9 septembre 1983La Cortenaise en 1922 salle de musique fontaine des 4 canonsLa Cortenaise en 1950La Cortenaise le 21 novembre 1982La Cortenaise le 11 novembre 1982La Cortenaise dans la Haute ville